….Noam Chomsky (linguiste), Michel Foucault (philosophe), Serge Leclaire (psychanaliste), Jean-François Lyotard (philosophe), Maria-Antonietta Macciochi (historienne), Judith Miller (philosophe), Madeleine Rebérioux (Historienne), Michel Serres (philosophe)….
Heuristique & Sémiologique
69 feuilles de webzette contenant le mot : partie
VINCENNES, PARIS 8, 40ème anniversaire d’une UTOPIE.
L’Homme comme roseau pensant et pensé
« Toutes choses étant causées et causantes, aidées et aidantes, médiates et immédiates, et toutes s’entretenant par un lien naturel et insensible qui lie les plus éloignées et les plus différentes, je tiens impossible de connaître les parties sans connaître le tout, non plus que de connaître le tout sans connaître particulièrement les parties”….
L’établi
Il m’a paru intéressant, alors que notre temps pare de majuscules l’Invention et la Création, les confinant dans des laboratoires ou des lofts d”artistes, de vous proposer un extrait du livre de Robert Linhart : “L’établi” (Minuit 1978). Voici la description de l’établi de M. Demarcy, retoucheur de portières chez Citroên. «Le plus étonnant c’est […]
Actu 20/12/08
Samedi 20 décembre 2008. ” Tout ce qui est universel chez l’homme relève de l’ordre de la nature et se caractérise par la spontanéité, et tout ce qui est astreint à une norme appartient à la culture.” Claude Lévi-Strauss. Race et histoire.
Le réducteur absolu !
La confusion entre le principe d’appartenance ou d’inclusion et celui d’identité. revient à confondre une catégorie et une personne ou à réduire l’individuel au collectif : faute de logique, constructrice d’un clan local, d’un groupe de pression, certes, mais humainement et globalement destructrice….
“Graphes, cartes et arbres” de Franco Moretti
Dans ce petit livre Franco Moretti avance de façon totalement hérétique que les chercheurs en littérature devraient arrêter de lire des livres… et bien plutôt commencer à les compter, les cartographier, les intégrer à des graphiques. Il assure qu’un tel travail pourrait donner un nouveau lustre à un champ bien fatigué, qu’on peut à bien […]
“un je ne sais quel charme”
Le charme, la séduction, si l’on tente de définir leur « essence » sont inclassables. Ce sont plutôt des « événements ». Ils « arrivent », tombent sur le sujet, le « suppôt » qu’ils affectent. Plutôt des environnements, des atmosphères, une aura au sens que lui donnait Walter Benjamin. Ou alors, ce « presque […]