Mercredi 19 mars 2008. “Valéry remarque à de nombreuses reprises que pousser jusqu’au bout une idée c’est risquer de la détruire, et qu’il y a souvent gain pour l’esprit dans la pensée prise dans son surgissement et suspendue dans sa fulgurance…. Telle semble d’ailleurs être la façon dont Valéry lit et met à profit ses lectures, qu’il prétend toujours lacunaires, partielles et qu’il restitue régulièrement sous la fragmentation de citations parodiques.” Texte de Julia Peslier, du Collège International de Philosophie, sur “Des choses divines, de Paul Valéry”, éditions Kimé. 2005.
Heuristique & Sémiologique